Extrait de la carte Michelin
Extrait de la carte Swisstopo
Départ matinal de l'hôtel de l'hospice du Grand Saint-Bernard, que je peux conseiller de vive voix pour la qualité de ses dortoirs et de son petit déjeuner, et pas du tout pour son repas du soir. Un conseil: choisissez la formule dortoir (ou chambre) + petit déjeuner et allez manger le soir du côté italien à l'Hôtel Italia, c'est excellent et ça sent l'ambiance de la bonne vieille époque des premiers touristes alpins !
On fuit relativement vite les brumes matinaux qui semblent s'amasser juste au-dessus du col et on arrive au début des "difficultés" de l'ascension de la Grande Chenalette.
Le Col du Grand Saint-Bernard est un lieu mythique, riche en beautés naturelles et faits historiques. Cependant, il souffre d'une très forte fréquentation en saison touristique. Mais il suffit de monter quelques centaines de mètres pour retrouver la paix et de profiter de cet environnement grandiose. Ici, le Mont Vélan semble être en feu.
Entre la Petite et la Grande Chenalette.
Mont Blanc, 4807m, et Grandes Jorasses, 4208m.
Sommet de la Grande Chenalette, 2890m, atteint après seulement une heure de marche.
Gros plan sur l'objectif de la veille, la Grande Lui, 3509m (le plus haut point se trouve à droite).
La Pointe de Drône n'est plus très loin.
Vision irréelle du monarche des Alpes.
Les deux seigneurs des Alpes Grées: Grivola, 3969m, et Gran Paradiso, 4062m.
Pointe Isabelle, 3761m, Aiguille de Triolet, 3870m, Mont Dolent, 3820m.
Sur le sommet de la Pointe de Drône, 1h30 après le départ du col.
La route du Grand Saint-Bernard et les Alpes Grées.
Mont Dolent, Tour Noir, Grande Lui, Grand Darray.
La descente se déroule sans problèmes et nous permet de jolies vues. Severin n'est pas au top de sa forme mais il souffre un peu des genoux.
L'ensemble des bâtiments côté suisse du Col du Grand Saint-Bernard.
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